Fillière

Les 80 ans du Combat des Glières

Dans le cadre des 80 ans de la commémoration du combat des Glières de 1944, la commune de Fillière souhaite la réalisation d’une fresque monumentale sur la façade de la mairie déléguée de Thorens-Glières.
Ma proposition de fresque, retenue par le jury, m’a conduite dans la seconde phase de candidature.

Intentions

La fresque imaginée pour commémorer les 80 ans du combat des Glières rend hommage à l’histoire et à la mémoire des maquisards du plateau.
Au centre du plus large mur, on retrouve le défilé des maquisards qui s’est déroulé en juillet 1944 à Thorens. Derrière les hommes, deux silhouettes de chamois se détachent. Cet animal est le symbole de la section «Le chamois» dirigée par Louis Morel. Sa présence presque fantomatique fait référence aux hommes tombés et capturés au combat participant allégoriquement au défilé.
Le ciel dynamique raconte comment le plateau des Glières a été un point stratégique de ravitaillement pour les Alliers. Les parachutages d’armes se mêlent aux pétales de fleurs tombant sous les pas des hommes défilant.
Enfin, le refrain du chant des bataillons des Glières est représenté en bas de la fresque. Chanter permet de réconforter comme de célébrer. La musique traverse donc les siècles et sert la mémoire des Hommes.

 

Intentions

La fresque imaginée pour commémorer les 80 ans du combat des Glières rend hommage à l’histoire et à la mémoire des maquisards du plateau.
Au centre du plus large mur, on retrouve le défilé des maquisards qui s’est déroulé en juillet 1944 à Thorens. Derrière les hommes, deux silhouettes de chamois se détachent. Cet animal est le symbole de la section «Le chamois» dirigée par Louis Morel. Sa présence presque fantomatique fait référence aux hommes tombés et capturés au combat participant allégoriquement au défilé.
Le ciel dynamique raconte comment le plateau des Glières a été un point stratégique de ravitaillement pour les Alliers. Les parachutages d’armes se mêlent aux pétales de fleurs tombant sous les pas des hommes défilant.
Enfin, le refrain du chant des bataillons des Glières est représenté en bas de la fresque. Chanter permet de réconforter comme de célébrer. La musique traverse donc les siècles et sert la mémoire des Hommes.

 

Cette mémoire est illustrée sur la façade droite. On y découvre deux ambiances, passé et présent, soulignées par les deux saisons opposées ; été et hiver.
Tout en haut, le monument de Gilioli, icône de l’association des Glières planté dans son écrin naturel, contextualise le lieu où se trouvaient les maquisards et offre à la composition une respiration en profondeur en plus d’un regard sur l’avenir. Par-dessus, les dates 1944-2024 attestent de l’anniversaire et encadrent l’insigne des Rescapés des Glières.
Au rez-de-chaussée, on retrouve des scènes de la vie des résistants, au cœur de l’hiver. Les portraits de l’adjudant chef Louis Morel, dit Le Forestier et du lieutenant Tom Morel accompagné du drapeau de la Résistance française, rendent hommage à ces hommes qui ont dirigé et organisé la libération de la patrie. La formule emblématique «Vivre libre ou mourir» trouve aussi sa place au-dessus de Tom Morel, à l’origine de la devise et du chant du bataillon des Glières.

Cette mémoire est illustrée sur la façade droite. On y découvre deux ambiances, passé et présent, soulignées par les deux saisons opposées ; été et hiver.
Tout en haut, le monument de Gilioli, icône de l’association des Glières planté dans son écrin naturel, contextualise le lieu où se trouvaient les maquisards et offre à la composition une respiration en profondeur en plus d’un regard sur l’avenir. Par-dessus, les dates 1944-2024 attestent de l’anniversaire et encadrent l’insigne des Rescapés des Glières.
Au rez-de-chaussée, on retrouve des scènes de la vie des résistants, au cœur de l’hiver. Les portraits de l’adjudant chef Louis Morel, dit Le Forestier et du lieutenant Tom Morel accompagné du drapeau de la Résistance française, rendent hommage à ces hommes qui ont dirigé et organisé la libération de la patrie. La formule emblématique «Vivre libre ou mourir» trouve aussi sa place au-dessus de Tom Morel, à l’origine de la devise et du chant du bataillon des Glières.